Permettez-moi de citer OSCAR WILDE : “Dire du mal des autres est une façon malhonnête de se flatter.” La vie nous amène dès fois sur la route du gourou « du factuel virtuel. »
Le mot factuel veut dire « Qui est de l’ordre du fait » dans l’esprit tordu du gourou avec le bréviaire des mensonges cela prend une autre définition.
Je voudrais partager cette anecdote qui frappe bon nombre de salariés dans leur dignité, et brise leur cercle de la vie par un traumatisme.
« Le mal aujourd’hui dans notre société c’est porter atteinte en proportion exagérée par jalousie, par méchanceté par un Ego à un collègue, un rival en utilisant le règlement de comptes par lâcheté, par diffamation ou par dénigrement »
Aujourd’hui combien de salariés comme « capitaine Dreyfus » dans la tourmente de l’injustice, de la méchanceté gratuite sans Émile Zola pour les défendre et dire « j’accuse » dans le drame silencieux que subissent des milliers de citoyens par le racisme.
Nous nous trouvons devant un phénomène qui est nourrit dans les entreprises par certains salariés en mal d’éducation, de cultures en arrivent à constituer des lobbies, par une propension à utiliser toute valeur négative, pour exister.
A la gare du chemin de fer, je rencontre un ami d’enfance qui m’interpella d’un ton triste et content de m’avoir rencontré ce matin. Après les salutations d’usage il m’annonça la façon barbare et sauvage de son licenciement « pour motif » Une accusation sans preuves d’une collègue en mal d’existence.
« Agression sexuelle » » quand la force te coupe le bras, il ne faut pas avoir honte de l’exhiber afin de montrer l’inhumanité qui habite l’autre qui aurait préféré le silence pour continuer à exister dans son forfait.
Après avoir repris son travail suite à une opération à la tête dans lequel Il a perdu son langage et il a du mal à parler, alors qu’il était un homme plein de verbes et joyeux.
Voilà les effets nocifs de la maladie qui peuvent frapper tout le monde dans la vie sauf aux criminels mythomanes actrices et auteurs de « fake news » qui pensent que cela n’arrive qu’aux autres.
XAXA, le surnom que je lui donne dans cette planche me raconta son cauchemar professionnel nourrit du racisme primaire et primitif, de provocations incessantes au quotidien, on dirait un récit d’épisode d’un roman feuilleton de la colonisation ou le récit de la loi sur le code noir où les africains étaient des meubles meublants.
Sa fille avocate, l’aide à prendre un de ses confrères pour le défendre.
Il fit les démarches administratives finalement pour faire reconnaître son infirmité et son handicap à 100% et gagnant devant les prud’hommes.
La seule chose que ces malades mentaux d’hiérarchie lui reprochent c’est de tomber très malade et perdre pratiquement sa parole.
Comme le dit le proverbe celui qui veut tuer son chien l’accuse de rage, il fut accusé d’un fait imaginaire, grotesque, virtuellement factuel pour avoir un alibi pour le licencier abusivement, arbitrairement sans aucun motif réel.
Ce qui compte dans la tête de ces démons qui utilisent « factuel » au lieu de mythomanie, de jugement à tiroir, au lieu de mauvaises foies criminelles sans états d’âme, c’est qu’ils sont des années après le drame historique infamant du capitaine Dreyfus, des héritiers sans gloire sans conscience, sans humanisme, sans le sel de la dignité humaine qui nous sépare des animaux de la forêt et de la savane de ce fait historique qui traumatise encore le monde entier dans sa conception luciférienne, diabolique qui a eu pour seul motif l’antisémitisme.
Pour conclure je dirais aux victimes des filles et des fils de Lucifer, ne gémissez pas, souriez en mettant du soleil en vous car la roue tourne et il n’y a pas d’impunité dans la vie.
Jacob ATA-AYI