L’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) vient également de se prononcer sur cette affaire. C’est à travers un message posté par le président de cette Association sur sa page Facebook.
« Le chômage ne doit pas être une raison pour les autorités gouvernementales de se délier du devoir de protéger les droits des travailleurs de la société Amina. Les revendications de ces employés sont légitimes et le @GouvTg doit œuvrer pour les satisfaire », a écrit Kao Atcholi, président de l’ASVITTO.
Le licenciement de plus de 2000 employés à Mèche Amina et leur réambauche conditionné à la présentation d’une lettre de demande de pardon pré-écrite par la direction de la société continue de susciter des réactions.
L’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) vient également de se prononcer sur cette affaire. C’est à travers un message posté par le président de cette Association sur sa page Facebook.
« Le chômage ne doit pas être une raison pour les autorités gouvernementales de se délier du devoir de protéger les droits des travailleurs de la société Amina. Les revendications de ces employés sont légitimes et le @GouvTg doit œuvrer pour les satisfaire », a écrit Kao Atcholi, président de l’ASVITTO.
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